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« Lot, solitude et révélation : comment le camping des Cournoulises m’a adopté »
Automne 2012 : je suis en vadrouille, seul, à 600 km de chez moi, au bord de la rivière Lot . Quelques jours entiers à ramer, marcher, charger et décharger l’attirail dans le zod’, plonger les mains dans des mixtures douteuses… Mes aisselles qui fouettent un bon vieux scopex organique bien gerbant des années 90, les sourcils figés par le jus de tigers … Il me fallait une douche, d’urgence ! C’est dans ce contexte olfactif douteux et un peu par hasard, qu’au détour d’un chan

Pierre Blondel
24 nov.4 min de lecture
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